| ποτιβάντες νυν πὸτ τὰν | ἱστίαν θωκεῖτε· δός μοι τὺ | τὤμφακες· φέρ᾽ ὧ τὰν σκύλακα· | πεῖ γὰρ ἡ ἄσφαλτος; − Οὕτα. − | ἔχε καὶ τὸ δάιδιον καὶ τὸν | λιβανωτόν· ἄγετε δὴ | πεπτάσθων μοι ταὶ θύραι | πάσαι· ὑμὲς δὲ ἐνταῦθα | ὁρῆτε· καὶ τὸν δαελὸν | σβῆτε ὥσπερ ἔχει […] πότνια· δει[πν]ου μέν τυ καὶ | [ξ]ενίων ἀμεμφέων ἀντα[. Trad.
137 Moulinier 1950: 68-69. 138 Reitler 1949: 29-31, pl. VI, a. Kraus 1960: 25-26 y oppose, d’abord, que non seulement Hécate, mais aussi d’autres déesses qui interviennent à l’accouchement et reçoivent le sacrifice du chien pourraient être en relation avec la gemme; ensuite, que l’épiclèse κύων μέλαινα sur laquelle s’appuie R. Reitler pour son interprétation est tardive. 139 Concernant les modalités d’interprétation des rites dans les Questions Romaines, voir Scheid 1990-1991: 276.
6 croit qu’il s’agit de l’Artémis Ἐνόδιος de Claros, identique à Hécate. Kraus 1960: 52, n. 251 qui accepte aussi l’identification avec Hécate. 114 Paus., III, 14, 9-10: θύουσι γὰρ καὶ Κολοφώνιοι μέλαιναν τῇ Ἐνοδίῳ σκύλακα. Sur la tendance à destiner les animaux noirs aux divinités chthoniennes, aux morts et aux héros, mais aussi à les utiliser comme victimes dans des rituels expiatoires ou magiques, voir Stengel 1910: 188-190. Dans notre cas, pourtant, le choix de la couleur pourrait faire allusion au fait que, comme le précise Pausanias, ce sacrifice, comme celui des éphèbes à Sparte, avait lieu la nuit − νυκτεριναὶ δὲ ἥ τε Κολοφωνίων θυσία καὶ τῶν ἐν Λακεδαίμονι ἐφήβων καθεστήκασιν −, ainsi qu’au rôle éventuel du sang (μέλαν αἷμα). Sur le rapport de la couleur noire avec Hécate, voir aussi les passages cités par Radke 1936: 14-15.
8 (Olivieri). 122 Voir Graf 1994: 199 sq. 123 Le nom de la déesse ne se trouve pas dans les fragments conservés du mime. Cependant, le contexte magique, le choix de la victime et la qualification de l’offrande comme δεῖπνον désignent probablement Hécate; voir, parmi d’autres, Latte 1933: 262. Cela est confirmé par le rôle que joue Hécate (identifiée à Artémis et à Σελήνη dans la deuxième idylle de Théocrite). 124 Τὰν τράπεζαν κάτθετε | ὥσπερ ἔχει· λάζεσθε δὲ | ἁλὸς χονδρὸν ἐς τὰν χῆρα | καὶ δάφναν πὰρ τὸ ὦας.
39 Au Mus. Nat. d’Athènes 1416 (déesse coiffée du πόλος, vêtue d’un χιτών long, une longue torche dans chaque main); Svoronos 1911: 361, n° 114 et pl. 66, Siebert 1966: 454, fig. 7 et Zagdoun 1989: 171, n° 63. 40 Selon Svoronos 1911: 361, le relief est probablement copié d’après un autre, plus ancien, où la niche aurait une taille plus fonctionnelle. Threpsiadis 1960: 44 compare cette niche à un symbole lunaire.
Phil., 4, 57; Hsch., s. κώμυθα (Latte) et Etym. M., s. ἀντήνους (Gaisford). Voir aussi Gow 1953: 114, n. 1 qui croit que le rôle de ces substances, de même que celui du bitume et de la torche, est purificatoire. Hordern 2004: 130-131. 127 Vu l’ouverture des portes et l’invitation explicite adressée à la déesse, l’hypothèse selon laquelle le sujet du mime d’où provient le fragment soit une cérémonie cherchant à chasser Hécate est peu vraisemblable.
Pal., VII, 64, 1-2: −εἰπέ, κύον, τίνος ἀνδρὸς ἐφεστὼς σῆμα φυλάσσεις; | −Τοῦ Κυνός ainsi que Diog. Laerc., Vit. Phil., 6, 78 et SEG, 39 (1989), 1781. 88 Pour le tombeau d’Hécube, voir aussi Asclepiades de Samos, fr. 1, Diehl3, Pollux, V, 45 (Bethe); Lyc., Alex., 1181 sq. Chez Lycophron (v. 334), Hécube-chienne est appellée Μαῖρα (< μαρμαίρω, « étinceler »), nom attribué aussi à Sirius, l’étoile brillante du caniculaire, ce qui donne à penser que le σῆμα d’Hécube pourrait être également conçu comme une étoile ou une constellation.
Le feu s’allume de lui-même (970), déclarant par là l’acceptation de l’invitation par les puissances chthoniennes. Selon Ducourthial 2003: 112-113 la plupart des plantes mentionnées à partir du vers 951 sont des plantes épineuses ou des plantes en relation avec le sang et la mort. 133 Épithète d’Arès qui chez Homère s’utilise souvent toute seule pour désigner le dieu.
Voir aussi Kraus 1960: 140, n° 26, pl. 12, 1-3, sur un hekataion hermaïque du ier s. ou du ier s. -C., à Rome, Mus. Torlonia (un chien accompagne l’une des trois korai qui dansent, mains libres, autour d’Hécate trimorphe). 51 Nous trouvons ce type sur des monnaies de Lydie du iiie s. -C., voir Sarian 1992: nos 171-173; cf. n° 166, statuette de triple Hécate (Athènes, Agora S 1943) aux attributs orientaux: entre les corps de la déesse deux chiens assis et un autel rectangulaire. 52 Sarian 1992: nos 153, 155 (statuettes romaines en bronze: une des trois figures tient un poignard et soulève un chien par les pattes).
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134 Plut., Aetia Rom. et Gr., 277b: ὥσπερ οὖν οἱ Ἕλληνες τῇ Ἑκάτῃ καὶ τῇ Γενείτῃ (Μάνῃ) κύνα ῾Ρωμαῖοι θύουσιν ὑπὲρ τῶν οἰκογενῶν. Ἀργείους δὲ Σωκράτης φησὶ τῇ Εἰλιονείᾳ κύνα θύειν διὰ τὴν ῥᾳστώνην τῆς λοχείας. 135 Hsch., s. Γενετυλλίς: Γενετυλλίς· γυναικεία θεὸς πεποιημένου τοῦ ὀνόματος παρὰ τὰς γενέσεις, ἐοικυῖα τῇ Ἑκάτῃ· διὸ καὶ ταύτῃ κύνας προετίθεσαν· ἔστι δὲ ξενικὴ ἡ θεὸς καὶ ἑορτὴ τῶν γυναικῶν (Latte). 136 Wächter 1910: 25 sq. ; Price 1978: 209 et Kraus 1960: 25-26.
35 Hélène: Hom., Il., III, 180 et Od., IV, 145 (κυνῶπις); Il., VI, 344, 356 et Eur., Andr., 630-631 (κύων). Clytemnestre: Od., XI, 424 (κυνῶπις), 427-428 (κύντερον πάντων); Esch., Ag., 1227 et 607 (κύων). Le cas d’Hécube nous occupera par la suite. Plus de détails sur Clytemnestre chez Eschyle chez Lilja 1976: 54-57 et Mainoldi 1984: 165-169. Loraux 1990: 76. 36 Hés., Trav., 586-588. Sur l’opposition homme-femme que révèle ce passage par rapport à l’effet de la grande chaleur, voir Detienne 1972: 222-226 et Detienne – Vernant et alii 1979: 106.
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5 Hés., Trav., 604 sq. Sur le chien gardien de la porte, voir aussi Ar., Lys., 1212-1215; Guêpes, 957-958 et Anth. Pal. (Antipater de Thessalonique), V, 30, 3-5. Chez Théocrite, l’expression « sans clé, sans porte, sans chien » signale l’abandon complet d’une maison: Idyll., XXI, 15, cf. id. 15, 43. 6 Pl., Rép., II, 375a-376c et III, 404a. Sur ce passage de la République, voir aussi Sinclair 1948: 61-62. Pour Platon, ce qui prédispose le chien au rôle du gardien c’est qu’il est à la fois doux – pour les habitués de la maison – et irascible – pour les inconnus. 7 Pollux, V, 48 (Bethe).
Pour le relief de Thasos (Mus. De Mariès), voir Sarian 1992: n° 689 (hésitant toujours entre Hécate et Artémis), cf. Farnell 1896-1909: II, pl. 39a (Hécate), Conze 1860: 38-39, pl. 10, 4 (Artémis) et Petersen 1880: 143 (Hécate). Kraus 1960: 73 propose un rapprochement entre cette figure et l’Artémis Hécate que nous trouvons dans des inscriptions très anciennes de Thasos. 48 Werth 2006: 149 et 173 sq.
(légèrement modifiée) par Chantraine 1935: 26. Voir Sophron in Page 1970: 328, n° 73, cf. Hordern 2004: 40-43; Vitelli – Norsa 1933: 119 et 247 (première publication du fragment) ainsi que Eitrem 1933: 10-29, Latte 1933: 259-264, Kerenyi 1935: 4-9, Dillon 2002: 174-175, Martin 2005: 173. 125 Voir Zografou 2004, cf. Hordern 2004: 136. 126 Pour l’emploi du laurier comme φυλακτήριον, voir, entre autres, Théophr., Car., 16, 1; concernant, plus particulièrement, la coutume de mettre des branches de laurier devant les portes ou au-dessus d’elles, voir Diog.
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Photos. Parade nautique de la Mirabelle à Metz
Voir notamment Eitrem 1933: 10-29. 128 Argon. orph., 967 sq. 129 Argon. orph., 985. 130 Argon. orph., 979. 131 Casabona 1966: 225 sq. 132 Argon. orph., 957-964: Αὐτίκα δ᾽ οὐλοπλάσμαθ᾽ † ὑπὸ πέπλους † ἐπονεύμην· | ἄν δὲ πυρὴν ἐπέβαλλον ἰδ᾽ ἔντομα θύματ᾽ ἔρεζον, | σκύμνους παμμέλανας σκυλάκων τρισσοὺς ἱερεύσας. | Αἵματι δ᾽ αὖ χάλκανθον ἰδὲ στρούθειον ἔμιξα | κνῆκόν τε σχιστὴν, ἐπὶ τε ψύλλειον ἀῶδες | ἄγχουσάν τ᾽ ἐρυθρὴν ἰδὲ χάλκιμον. αὐτὰρ ἔπειτα | νηδύας ἐμπλήσας σκυλάκων φίτροισιν ἔθηκα. | Ὕδατι δ᾽ αὖ † μίξας † χολάδας χεόμην περὶ βόθρον.
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