et Gr., 277b: ὥσπερ οὖν οἱ Ἕλληνες τῇ Ἑκάτῃ καὶ τῇ Γενείτῃ (Μάνῃ) κύνα ῾Ρωμαῖοι θύουσιν ὑπὲρ τῶν οἰκογενῶν. Ἀργείους δὲ Σωκράτης φησὶ τῇ Εἰλιονείᾳ κύνα θύειν διὰ τὴν ῥᾳστώνην τῆς λοχείας. 135 Hsch., s. Γενετυλλίς: Γενετυλλίς· γυναικεία θεὸς πεποιημένου τοῦ ὀνόματος παρὰ τὰς γενέσεις, ἐοικυῖα τῇ Ἑκάτῃ· διὸ καὶ ταύτῃ κύνας προετίθεσαν· ἔστι δὲ ξενικὴ ἡ θεὸς καὶ ἑορτὴ τῶν γυναικῶν (Latte). 136 Wächter 1910: 25 sq. ; Price 1978: 209 et Kraus 1960: 25-26. 137 Moulinier 1950: 68-69.
138 Reitler 1949: 29-31, pl. VI, a. Kraus 1960: 25-26 y oppose, d’abord, que non seulement Hécate, mais aussi d’autres déesses qui interviennent à l’accouchement et reçoivent le sacrifice du chien pourraient être en relation avec la gemme; ensuite, que l’épiclèse κύων μέλαινα sur laquelle s’appuie R. Reitler pour son interprétation est tardive. 139 Concernant les modalités d’interprétation des rites dans les Questions Romaines, voir Scheid 1990-1991: 276.
16 Sur les différentes fonctions du chien, voir Bodson 1980: 13-21. 17 Le verbe est utilisé pour les animaux domestiques en général. Voir Arist., H. A., V, 542a, 572a (συνανθρωπευόμενα). Porph., Abst., I, 14, 3 juge correct que la viande de ces animaux ne soit pas comestible: « nous nous abstenons de toucher à une grande partie de celles − sc.
111 Autres exemples des ministres comparés aux chiens: Pind., Parth., fr. 95 (Maehler) où Pan est nommé « chien de la Grande Déesse ». Comme « chiens » sont aussi désignés d’autres ministres des divinités: les Harpies, l’aigle de Zeus, les flammes du feu d’Héphaistos, des prêtres etc. Voir Lilja 1976: 81 et 51 et Mainoldi 1984: 154-156. 112 Hsch., s. Ἑκάτης ἄγαλμα (Latte) et Argon.
Le feu s’allume de lui-même (970), déclarant par là l’acceptation de l’invitation par les puissances chthoniennes. Selon Ducourthial 2003: 112-113 la plupart des plantes mentionnées à partir du vers 951 sont des plantes épineuses ou des plantes en relation avec le sang et la mort. 133 Épithète d’Arès qui chez Homère s’utilise souvent toute seule pour désigner le dieu. 134 Plut., Aetia Rom.
128 Argon. orph., 967 sq. 129 Argon. orph., 985. 130 Argon. orph., 979. 131 Casabona 1966: 225 sq. 132 Argon. orph., 957-964: Αὐτίκα δ᾽ οὐλοπλάσμαθ᾽ † ὑπὸ πέπλους † ἐπονεύμην· | ἄν δὲ πυρὴν ἐπέβαλλον ἰδ᾽ ἔντομα θύματ᾽ ἔρεζον, | σκύμνους παμμέλανας σκυλάκων τρισσοὺς ἱερεύσας. | Αἵματι δ᾽ αὖ χάλκανθον ἰδὲ στρούθειον ἔμιξα | κνῆκόν τε σχιστὴν, ἐπὶ τε ψύλλειον ἀῶδες | ἄγχουσάν τ᾽ ἐρυθρὴν ἰδὲ χάλκιμον. αὐτὰρ ἔπειτα | νηδύας ἐμπλήσας σκυλάκων φίτροισιν ἔθηκα. | Ὕδατι δ᾽ αὖ † μίξας † χολάδας χεόμην περὶ βόθρον.
Pour le relief de Thasos (Mus. De Mariès), voir Sarian 1992: n° 689 (hésitant toujours entre Hécate et Artémis), cf. Farnell 1896-1909: II, pl. 39a (Hécate), Conze 1860: 38-39, pl. 10, 4 (Artémis) et Petersen 1880: 143 (Hécate). Kraus 1960: 73 propose un rapprochement entre cette figure et l’Artémis Hécate que nous trouvons dans des inscriptions très anciennes de Thasos. 48 Werth 2006: 149 et 173 sq.
142 Paus., III, 14, 9. 143 Plut., Aetia Rom. et Gr., 290d; cf. Romulus, 21, 4-9. Voir aussi Dumezil 1974: 352 sq. ainsi que Cirilli 1912: 330-331 et Zaganiaris 1975: 326-327 dont les études se réfèrent aussi à d’autres occasions lors desquelles on sacrifiait des chiens à Rome. 144 Schol. Aristoph., Paix, 277 (Dübner): ἐν δὲ τῇ Σαμοθράκῃ τὰ τῶν Κορυβάντων ἦν μυστήρια καὶ τὰ τῆς Ἑκάτης, καὶ διαβόητον ἦν τὸ Ζήρυνθον ἄντρον, ἔνθα τὴν Ἑκάτην ὀργιάζειν ἐλέγετο, καὶ τελετὰς ἦγον αὐτῇ καὶ κύνας ἔθυον. Lyc., Alex., 77 et Souda, s. Ζηρυνθία et Σαμοθράκη (Adler).
23 Au sujet de la réincarnation en chien, voir Xénophane, 21, fr. 7, Diels-Kranz (Pythagore reconnaît la voix d’un ami mort dans un chien battu; Procl., In rem publ., II, 338, 10 (Kroll). Lilja 1976: 42. Sur les κῆρες à l’aspect de chiens lors des Anthestéries, voir Van Hoorn 1952: 107, pl. 33. 24 Sur les démons-chiens des oracles chaldaïques et leur rapport avec Hécate, voir Johnston 1990: 134 sq. Eus., Prép. évang., IV, 23, 6 (le symbole des démons en tête desquels se trouvent Sarapis et Hécate est « le chien à trois têtes », Cerbère). 25 En ce qui concerne l’ambiguïté du naturel canin dans les représentations de nombreuses populations, voir, entre autres, Finet 1993: 139 et passim ainsi que Copet-Rougier 1988: 108 qui se demande « si plus généralement le chien par sa contiguïté avec l’homme ne représente pas, plutôt qu’une métaphore singulière, un lieu quasi géométrique qui en fait un animal ‘bon à penser’ la médiation ».
L’absence d’une statuette d’Hécate ne s’oppose pas à l’interprétation que nous mentionnons: outre la structure de trois torches qui semblent marquer le caractère sacré du lieu, la scène pourrait se dérouler à une τρίοδος, c’est-à-dire à un endroit considéré en général comme consacré à Hécate. 119 Cet usage est prouvé, entre autres, du fait que certaines gens, par pauvreté (schol. Ar. Plout., v. 594, Koster) ou par impiété (Dém., Or., 54 [Contre Conon], 39) pouvaient manger les « repas ».
Karousou 1972: 64-73, n. 14 remarque que le manque d’attributs d’Artémis et le fait que la terre cuite a été trouvée dans une tombe plaiderait plutôt en faveur d’Hécate. 47 C’est le cas, par exemple, d’un relief de Thasos et d’un autre d’Irmeni Köy (près de Cyzique). Le premier se trouve au Louvre (MA 2849). Voir Sarian 1992: n° 66, qui insère le monument dans le catalogue des monuments représentant Hécate, sans pour autant exclure la possibilité qu’il s’agisse d’une image d’Artémis.
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Il est fort intéressant que cette affection, qui n’est pas − comme le montre son nom − sans affinités avec la mort « féminine » par strangulation, atteint très souvent les chiens; κυνάγχη ainsi que l’épithète homonyme d’Hermès vont nous occuper vers la fin de ce chapitre. Loraux 1985: 34 (laideur, souillure de la mort par pendaison), 48-49 (la pendaison en tant qu’« emprisonnement du corps » répond au silence qui détermine le suicide des héroïnes tragiques).
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ainsi que Lloyd-Jones 1975: passim. Mainoldi 1984: 160-161 (poème du même genre attribué à Phocylide). Artémidore, d’ailleurs, précise (Clé des songes, II, 11, que dans les rêves, « les chiens gardiens de la maison indiquent la femme, et les gens de maison et les biens qu’on a déjà acquis ». 33 Pour l’attitude impudique, aux yeux de certains, dont les chiens font preuve, voir, Plut., Aet. et Gr., 290b. Précisons, toutefois, que Plutarque critique l’opinion que ce serait là la raison que l’accès à certains sanctuaires a été défendu aux chiens. Concernant la fécondité des chiennes, voir Aesopica, 223P; une épigramme d’Adaios (Anth.
82 Semonides, fr. 7, 12-20, West (Iambi et Elegi Graeci, II, Oxford, 1972). 83 Eur., incert., fr. 968 (Nauck): Ἑκάτης ἄγαλμα φωσφόρου κύων ἔσῃ. 84 Ar., fr. 608 (Kassel-Austin) = 594a (Edmonds, I, p. 734): καὶ κύων ἀκράχολος, | Ἑκάτης ἄγαλμα φωσφόρου, γενήσομαι. 85 Hsch., s. (Latte), cf. Eust., Comm. ad Od., 1, 126, 37-39 (Stallbaum). 86 Eur., Héc., 1273: κυνὸς ταλαίνης σῆμα, ναυτίλοις τέκμαρ. 87 Pour le chien comme monument tombal isolé – et non comme participant aux scènes du banquet du mort – voir Mainoldi 1984: 38; l’auteur cite plusieurs exemples dont le plus ancien date de la fin du ve s.
51 Nous trouvons ce type sur des monnaies de Lydie du iiie s. -C., voir Sarian 1992: nos 171-173; cf. n° 166, statuette de triple Hécate (Athènes, Agora S 1943) aux attributs orientaux: entre les corps de la déesse deux chiens assis et un autel rectangulaire. 52 Sarian 1992: nos 153, 155 (statuettes romaines en bronze: une des trois figures tient un poignard et soulève un chien par les pattes). Guidoni-Guidi 1980: 33-37, fig. 1-3.
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140 Plut., Aetia Rom. et Gr., 290d: οὐ μὴν οὐδὲ καθαρεύειν ᾤοντο παντάπασιν οἱ παλαιοὶ τὸ ζῷον· καὶ γὰρ ᾽Ολυμπίων μὲν οὐδενὶ θεῶν καθιέρωται, χθονία δὲ δεῖπνον Ἑκάτῃ πεμπόμενος εἰς τριόδους ἀποτροπαίων καὶ καθαρσίων ἐπέχει μοῖραν. ἐν δὲ Λακεδαίμονι τῷ φονικοτάτῳ θεῶν Ἐνυαλίῳ σκύλακας ἐντέμνουσι. 141 Jeanmaire 1939: 514 classe ainsi cette joute instituée par Lycurgue parmi les rites d’initiation, voire de puberté.
39 Au Mus. Nat. d’Athènes 1416 (déesse coiffée du πόλος, vêtue d’un χιτών long, une longue torche dans chaque main); Svoronos 1911: 361, n° 114 et pl. 66, Siebert 1966: 454, fig. 7 et Zagdoun 1989: 171, n° 63. 40 Selon Svoronos 1911: 361, le relief est probablement copié d’après un autre, plus ancien, où la niche aurait une taille plus fonctionnelle.
Photos. Parade nautique de la Mirabelle à Metz